Les « troubles dys » ne sont pas un handicap pour l’entreprise

Les « troubles dys » ne sont pas un handicap pour l’entreprise

Handicap
Longtemps peu considérées dans le monde du travail, les personnes atteintes de "troubles dys", ou troubles cognitifs spécifiques, voient aujourd’hui leurs profils neuroatypiques révélés sous un jour plus positif avec des études qui mettent en avant un fort potentiel dans un environnement concurrentiel et créatif. Explications en suivant le lien suivant: https://www-maddyness-com.cdn.ampproject.org/c/s/www.maddyness.com/2021/10/08/troubles-dys-handicap-entreprise/?amp
Gwenaëlle
Gwenaëlle Gary

22 / 09 / 2022

Commentaires

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RECRUTEMENT DE PERSONNES ATYPIQUES : REALITES ET PERSPECTIVES ????️

RECRUTEMENT DE PERSONNES ATYPIQUES : REALITES ET PERSPECTIVES ????️

Handicap
Alors que certains sont peut-être en cours de recrutement de stagiaires ou d’alternant, je voulais vous partager mon expérience de cheffe d’entreprise sur le recrutement de profils atypiques. Car si @HUPPY accompagne les organisations dans leurs pratiques collaboratives, en particulier dans l’intégration et maintien en emploi de #profils atypiques, nous avons aussi à cœur de le faire nous-même. Sur les 2 dernières années nous avons accueillis 3/5 stagiaires + 1/2 alternant atypiques. Voilà notre retour d’expérience : 1. C’est d’abord pour leurs compétences que ces personnes ont été recrutées chez HUPPY. ???? 2. Leur atypisme est venu en 2ème plan dans le choix de leur embauche. En revanche, il était important pour nous de nous assurer que le tuteur chargé de les accompagner avait les compétences pour bien le faire. 3. Avant même le démarrage du stage ou de l’alternance, un échange avec l’établissement scolaire a permis de poser les organisations qui seraient mises en place et les collaborations à envisager pour que l’étudiant soit en sécurité chez HUPPY. Aujourd’hui, avec le recul, je pense que ce temps de concertation est indispensable au démarrage du stage ou de l’alternance ???? 4. La relation de confiance qui a ainsi pu être établie lors de ces échanges, a permis à chacun de poser ses propres limites. Notre retour d’expérience montre que si les profils atypiques ne font pas plus d’erreur que les autres stagiaires et alternant, la relation de confiance établie a permis de poser plus facilement les difficultés rencontrées et de trouver plus rapidement des solutions alternatives pour contourner les problèmes. 5. Ces points réguliers ont permis de réajuster et d’adapter nos fonctionnements. Alors oui, cela nous a parfois pris du temps, mais cela nous a aussi permis d’améliorer nos livrets d’accueil de stagiaires et de nouveaux arrivants. 6. Le soutien nécessaire et apprécié de l’@AGEFIPH a permis de soutenir les tuteurs. 7. L’accueil de ces 4 jeunes atypiques aura été une source d’enrichissement pour chacun et nous aura permis d’appréhender, de l’intérieur, l’intégration et maintien en emploi des personnes en situation de #handicap invisible. Alors oui, cela a été impliquant pour nous, mais finalement les 4 jeunes ont atteint les objectifs prévus. Je suis donc ravie de voir que certains établissements re-frappent à notre porte pour que nous puissions accueillir d’autres jeunes en situation de handicap; l’accueil de HUPPY a dû être apprécié… Ce qui est sûr, c’est que tous ces stagiaires et alternants, atypiques ou non, ont aussi été apprécié. Merci d’ailleurs à eux d’avoir collaborer à la réussite de notre entreprise !✨
Gwenaëlle
Gwenaëlle Gary

11 / 04 / 2024

L’APPROCHE GENERATIVE EN INTELLIGENCE COLLECTIVE : OUTILS ET EXEMPLES D’UTILISATION

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L’approche générative est une modélisation des facteurs de succès dans les organisations et collectifs (= ce qui marche et fonctionne). C’est un champ de la facilitation qui cherche à impulser une dynamique évolutive et créative des groupes et des équipes dans un cadre structurant. La générativité est une manière de tirer des leviers pour dépasser les difficultés rencontrées pour construire du positif. Comme dans tout principe de facilitation, elle s’appuie sur : - La résonnance entre la vision, le projet, les objectifs et les personnes du groupe, - La synergie entre les participants qui permet de mettre en commun ce qui est différent, - L’émergence comme une capacité à donner naissance à quelque chose qui n’était pas là avant le démarrage du travail, au-delà des réponses toutes faites Un outil génératif s’enracine dans la posture du facilitateur qui va aller chercher ce qui est caché dans un groupe où les avis sont différents voir opposés. Le rôle du facilitateur est de mettre en place un cadre qui va accueillir ces avis différents, voir divergents pour permettre d’éveiller les forces, et des solutions appropriées. Le facilitateur est le gardien du fonctionnement du groupe et l’expression de chacun au sein de ce système, même si le groupe semble ne pas aller dans la direction imaginée, et que des tensions sont perceptibles en interne au groupe. Son rôle est de réussir à maintenir des perspectives contraires sans opposition. Sa compétence réside aussi dans sa capacité à centrer chaque participant sur ce qu’il a de meilleur en lui pour le partager au reste du groupe. Le facilitateur accompagne ce qui émerge, que cela soit une réalité facile à vivre ou non pour le groupe. La cohérence de l’accompagnement s’appuie sur des outils génératifs reposant sur des intelligences multiples (cognitive, émotionnelle, somatique, esthétique et métaphorique), car celles-ci amènent le groupe à identifier davantage de perspectives sur un sujet. ????Voilà quelques un de ces outils génératifs : - L’intervision - L’imageineering - Le tetraleme L’intérêt d’utiliser ces outils en facilitation c’est que ce qui émerge est souvent plus puissant que ce qui était attendu. D’où l’importance d’accueillir la créativité, et la nouveauté de ce qui peut émerger du groupe.
Gwenaëlle
Gwenaëlle Gary

19 / 03 / 2024

Marre d'entendre parler de pénurie de personnel ou de discrimination...

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Intelligence Collective
Une étude du cabinet de recrutement Korn Ferry, publiée début mai 2018, révèle que la France pourrait manquer de 1,5 millions de salariés hautement qualifiés d’ici à 2030, induisant une perte de revenus potentiels estimée à 175 milliards d’euros, soit 6,5% du PIB. Les #services financiers, le secteur des #technologies, #médias et #télécommunications, ainsi que l’#industrie seront les secteurs les plus concernés par cette pénurie Or Selon de baromètre 2020 du Défenseur des Droits et de l’Organisation Internationale du Travail (OIT), les discriminations vécues par près d’un quart de la population active ont lieu dès l’embauche. Si certaines entreprises se sont saisies de ce sujet pour prévenir les discriminations à l’embauche, d’autres s’attache plutôt à accompagner les pratiques collaboratives au sein des équipes. Car travailler-ensemble ça ne s’improvise pas. Dans la nature, la biodiversité augmente la stabilité et l’adaptabilité de la biosphère. Pourquoi en serait-il autrement en entreprise ? Dans toutes les organisations, la diversité est aussi gage de force et d’agilité. Apprenons donc à travailler ensemble pour être plus puissant, plus créatif, plus innovant, et maintenir des compétences (avec ou sans handicap) ! D’autant que ces actions collectives, en lien avec les démarches #RSE, sont valorisables dans le CRDS…
Gwenaëlle
Gwenaëlle Gary

30 / 01 / 2024